Les fjords majestueux et les églises en bois centenaires n’ont pas pu rivaliser avec le charme émouvant des petites cabanes de pêcheurs de Bodø, coiffées d’herbe drue. C’est à elles que je pense souvent, bien plus qu’à leur décor somptueux. Elles seules ravivent en moi la poésie de cette fin d’été sur le cercle polaire. Seule. Et hallucinée.